En accord avec l’auteur, j’ai supprimé ce texte et m’excuse par avance pour les commentaires qui ne ramènent plus vers rien.
J’aurai l’occasion de revenir sur la voie de la non dualité, notamment au travers des maîtres indiens tels Maharaj Nisargadatta, je vous dis à bientôt 😉
Eveil Oriental - Le Blog 
Cet article est une merveille qu’il m’est difficile d’appréhender d’une seule lecture, je le garde précieusement et je reviendrai pour approfondir.
Merci, Françoise
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Oui Elisabeth, je trouve aussi les mots très justes et ils reflètent complètement ce que j’ai pu ressentir au contact de pseudo maîtres, parfois même à mon propre contact (il est si facile de se leurrer soi-même, l’égo est habile)…je le relirai aussi. Bonne journée à toi
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Les mécanismes de défense de l’ego, les étapes à respecter sur le chemin, ses nombreux pièges, et surtout la nécessité de la guérir, avant de songer à transcender l’individualité, voilà les pistes du jour…
Mais il y en a d’autres, je relirai 🙂
Merci encore, Françoise et bon dimanche
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J’ai demandé un jour à un ami pourquoi l’égo était toujours là le premier, il m’a dit en éclatant de rire « parce que lui, il sait qu’il n’existe pas ! » Tout est dit 😉
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très bel article! De fait, il nous faut intégrer toutes nos parts d’ombres pour atteindre la plénitude, ce qui implique d’intégrer pleinement toutes les leçons de la dualité. Puis lorsque vous serez prêt, « le maître apparaîtra ». Voici ce que m’a enseigné « celui qui fut mon Yoda », il y a un an: « maintenant délivre-toi de tout jugement, et de toute aversion ». Une toute petite phrase, mais qui demande un grand engagement personnel, et une longue et profonde transformation de nos mécanismes personnels.
(au passage, félicitations, et merci, pour ce très beau blog)
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Merci Christophe, oui c’est une longue transformation en effet, une longue observation aussi et la volonté d’y arriver. Il arrive un moment où les phases de jugement s’espacent, de plus en plus, et je suppose qu’un jour elles disparaissent 😉 merci pour votre commentaire
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et bien, selon ma petite expérience, il nous faut toujours demeurer vigilant, même après avoir « atteint » la non-dualité. Quand au Jugement, je le vois tel une déformation humaine de cette qualité divine qu’est le Discernement.
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je ne saurais dire, je n’ai pas encore atteint la non-dualité 😉
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Ici sont très bien exposés les pièges sournois de l’Ego.Arnaud Desjardins les décrit aussi très bien,s’y étant fait prendre;c’est Swami prajnanpad qui l’a remis sur la voie en lui disant « Be happy! Arnaud ».En effet la joie est essentielle.Si on est tristounet,toujours sérieux,tendance à s’isoler:l’erreur de trajectoire s’annonce.
Merci pour ce blog
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C’est drôle car j’étais dans une lutte assez récemment (et j’y suis encore) sur le « chercheur » et le « découvreur », et justement j’alimente mon diable-ego, je n’arrive pas à vivre en paix avec tout ça et le fait que vous m’ayez réaxé sur le moment présent m’a réellement apporté. Je vous remercie énormément, l’évidence est là, mais elle n’est pas facile à attraper avec tous nos conditionnements… Patience c:
Superbe article en tout cas, que beaucoup de « chercheurs » devraient lire… A bon entendeur.
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Merci pour le compliment 😉 belle soirée
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Bonjour,
Excellent article.
Très humblement j’aurais juste un désaccord. Je pense que la non-dualité a tout à voir avec la présence. C’est une seule et même chose. Un personne vraiment présente est dans la non dualité.
Mais vouloir atteindre la non dualité, se persuader soit même qu’on est dans la non dualité, vouloir bruler les étapes, sans être présent, sans être capable d’observer son égo. Voilà le danger. C’est l’égo qui est coupé du réel et qui se coupe encore plus du réel.
Je crois que le gros danger consiste à vouloir s’évader de soi même. Or la non dualité c’est être soi. C’est tout l’inverse.
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bonsoir, réponse intéressante, j’avais posé la même question et émis la même hypothèse, pensant qu’être dans le présent était une non-dualité. On m’avait répondu quelque chose comme ça, que c’était différent. La non-dualité est en quelque sorte ce qu’on appelle l’éveil, pas d’observateur et donc pas d’observé. Pas de Je, pas d’autre. La pleine présence est juste un instant de non-dualité relative. Enfin, j’exprime juste ce qui m’interpelle dans votre réponse
« sans être capable d’observer son égo » ! Qui observe l’égo, si ce n’est lui-même ? 😉 C’est la remarque que je me suis faite et que m’a confirmée un lama, c’est de l’auto-observation, et donc une autre forme de dualité. La non-dualité est au-delà de tout ça, mais la chercher au-delà revient à la dualité. Bref, en résumé, dans la non dualité, rien n’est observable, donc on n’y est pas encore 😉
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Intéressant. Oui c’est ce que je constate aussi. Que l’égo observe l’égo.
Vous avez sans doute vu juste en parlant de non-dualité relative. Il est peut être excessif de parler de non-dualité lorsqu’on médite, en tout cas lorsqu’on n’est pas Siddharta Gautama.
En tout cas mon sentiment c’est qu’il y’a un Tout. Et que.. quoi que je fasse, que j’en sois pleinement conscient ou non dans ma pratique, il y’aura toujours un Tout. Mais peut être suis-je dans la croyance ? Dans le sentiment ? L’égo me joue encore des tours.
Je vois qu’il y’a encore beaucoup de choses à apprendre.
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ça peut sembler idiot, voire bateau, mais plus le temps passe, plus j’ai la sensation que la réponse est dans le coeur. Au lieu d’analyser, il est plus sage d’être conscient que ce ne sont que des pensées et que, de toute façon, elles sont vouées à s’évanouir si on ne les saisit pas ! Cette réflexion m’a amenée à me dire que la seule chose à faire était de ne rien faire, ou plutôt de développer des qualités humaines qui prendront la place de nos vilains voiles karmiques. C’est tentant pour l’égo de se saisir lui-même, de se dire « ça y est, j’ai la réponse », mais on sait qu’au final, si on avait la réponse, l’égo ne serait plus là pour le dire, donc…paradoxe de l’éveil, ceux qui sont éveillés ne le savent pas, les autres croient l’être 😉 oui l’égo est un sacré farceur !
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ah puis, pendant que j’y suis, penser qu’il y a un tout est en soi une dualité, cela présuppose qu’il y aurait un Rien ! c’est encore mettre en opposition quelque chose…subtil l’égo 😉
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Oui. Comme disait souvent Krishnamurti, on ne peut pas penser certaines choses qui sont impensables. Les penser c’est être dans le « moi ». Dieu est un concept, le Tout est un concept. Le Tout, s’il existe, n’est accessible que dans le silence.
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Que dire? Je me permets néanmoins de livrer le message qui vient : et si tous ces écueils et voies sans issues bref ces mauvaises interprétations étaient justement une part du « processus de guérison » ? En fait rien ni personne n’a d’emprise sur ce que l’on qualifie un peu trop rapidement d’erreur de compréhension et il n’y a aucun résultat en vue donc tout est parfaitement à sa place. Concernant l’enseignement il est clair qu’un travail en vue d’un résultat prouve le caractère douteux de cet enseignement je l’accorde mais là encore et si cela n’était la que dans le but de comprendre un peu mieux une fois que le non sens de certains enseignements seront démystifiés. Bref, et si tout était normal, seulement ce qui est?… et si les pierres sur le chemin n’etaient que ce qui est nécessaire à l’abandon final de la quête et du quêteur ?
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« et si tout ces écueils et voies sans issues…étaient justement… » est ce que l’on appelle une supposition… »en fait rien ni personne n’a d’emprise… » n’est pas un fait mais un jugement!… »un travail en vue d’un résultat… »n’est pas douteux, c’est l’attente, l’attachement au résultat qui est « douteux »… et pour finir, « en fait rien ni personne n’a d’emprise… » donc ou est le « nécessaire abandon final de la quête et du quêteur?
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Bravo pour ces propos très instructifs sur cette notion complexe de non -dualité !!! Se soigner d’abord avant d’y rentrer (ou tenter d’y rentrer) !
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